Didier Bert
La grappe québécoise de l’aérospatiale tire son épingle du jeu à l’heure d’importantes évolutions technologiques dans le secteur. De la décarbonation à la mobilité aérienne avancée, l’écosystème québécois présente d’autres atouts que ses concurrentes de Seattle et de Toulouse, dont une collaboration unique entre universités et entreprises.
Une usine en construction à Longueuil fournira prochainement des batteries électriques aux avions d’écoles de pilotage dans toute l’Amérique du Nord.
La firme suisse H55 a décidé de s’implanter sur la Rive-Sud pour développer son projet visant à électrifier à 100 % les avions destinés à la formation au pilotage. « Aujourd’hui, l’application en école de vol est pertinente en mode pleinement électrique, parce que la formation consiste à décoller et à atterrir à répétition. Le cycle de recharge est d’une heure pour une heure de vol », explique Martin Larose, directeur général de H55.
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